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Lorsque la pluie fait des claquettes sur les trottoirs de Velaux, on se calfeutre, on se réfugie au coin du feu , Coup de pot, journée foot à la télé… vive le whisky dans la tisane.
Comment ? De quoi ? De qu’est-ce ? Vous ne saviez donc pas qu’une importante manifestation s’est mise en place à la Maison pour Tous de Velaux ? Une soirée exceptionnelle qui ne se renouvellera pas de l’année !
Je vous parle de la remarquable équipe Atelier Ciné Passion-Velaux. Elle s’est mise en quatre, en six, en dix pour assurer l’accueil, l’ambiance et la projection d’une belle série courts métrages, plus inventifs les uns que les autres. Programme idéal pour dépasser le seuil d’une journée maussade.
D’abord, une dizaine de films soigneusement sélectionnés, pour leur thème, leur bonne humeur, leur originalité ou leur délicatesse, ont ainsi défilé sur l’écran.
Au moment de l’entracte, notre ami Daniel Lambert, a eu l’heureuse initiative d’avoir préparé une sélection de publicités « vintage »… Nous y avons retrouvé des stars d’aujourd’hui (quand ils gagnaient péniblement notoriété en jouant dans des pubs sur le mode mineur, mode Jean Mineur précisément. Ils étaient bien jeunes en ce temps-là. Quel choc !
Pour rester dans l’ambiance, distribution de bonbons-caramels, Kréma comme il se doit. Quand il fait un temps de chien, rien de mieux qu’un p’tit sucre pour rehausser le moral. Le sourire flottant au dessus de leur panier de bonbons, Christine et Jean Renaud, distribuaient les friandises avec enthousiasme.
Dans la deuxième partie, les films courts se sont succédé dans l’humour, dans le questionnement, dans l’émotion. À ce titre la réalisatrice Lena BIRKHOLD nous a fait le bonheur de présenter son film « Avant que les feuilles ne tombent » inspiré de l’œuvre de la polonaise Maciej Slesicki. Un film aux riches couleurs de la Corse dans une ambiance intimiste et moderne à la fois.
Les Velauxiennes et les Velauxiens, s’ils étaient moins nombreux cette fois, nous ont permis de mesurer que notre travail pour faire vivre le court métrage non professionnel passionnait du beau et du grand monde. Nous voudrions ici les remercier pour leur confiance et leur fidélité.
Nous avons tant aimé leurs sourires, leur plaisir de s’attarder autour de notre buffet après la projection et leur question systématique. Vous le referez l’an prochain ? Qui s’est enrichie cette année d’une autre demande, « pourquoi vous en faites pas deux ? »